Dans la lutte entre l'homme et la nature, l'être humain est toujours vainqueur, la nature toujours vaincue, abîmée, dégradée, souillée, meurtrie. Depuis des siècles, l'homme ne cesse de profiter des richesses grandioses offertes par la nature. Mais au lieu de préserver ces ressources qui ne sont pas inépuisables, l'homme, en toute impunité, saccage les forêts et les terres fertiles qui sont pourtant les premiers éléments indispensables à sa propre vie. Son inconscience le mène à massacrer de nombreux animaux : à la recherche de profits rapides, il tue d'innombrables espèces pour vendre leurs fourrures, leurs peaux, leur ivoire. Au 20eme siècle, quelques consciences s'éveillent devant ce massacre et appellent à la protection des espèces en voie de disparition. Des parcs nationaux et des réserves sont crées pour essayer de sauver certaines espèces endémiques. Mais est-ce suffisant pour réparer le mal et les blessures profondes qui ont été portées à la nature ? L'homme se croyant le maître du monde n'est-il pas en train d'aller à sa propre perte ? L'homme ne peut affirmer sa grandeur que dans la mesure où il respecte ce qui a été crée bien avant lui, l'environnement, la faune, la flore, l'eau et toutes les autres formes ou expressions de la vie donc toute la nature sans laquelle il ne peut exister. Il faut protéger notre patrimoine local, régional, national, universel au risque de le perdre à jamais. N'attendons pas qu'il soit trop tard ! ! !
Melle BENZERROUK KARIMA 2AS1
Notre siècle a été marqué par de nombreux fléaux sociaux. Le tabagisme en est un : il marquera négativement pour longtemps l'histoire de l'humanité La santé est précieuse. Or le tabac met en péril notre santé et celle de notre entourage: nos enfants, nos parents, notre famille. Chaque année des milliers de personnes succombent à la suite des maladies causées par le tabac. De plus, ce fléau touche des personnes de plus en plus jeunes. Nous dénonçons les multinationales qui mettent en vente libre ce poison. C'est inadmissible : on ne peut plus se laisser faire comme ça. Unissons-nous les jeunes contre cette drogue et construisons ensemble un monde sans tabac, sans fumée nocive.
Un jeune révolté- Guelmami Amine 3 AS2
Combien de bonheurs meurent noyés dans leurs berceaux …
Combien de joies bâties sur des pans en morceaux ;
D'attiques tiendraient encor face contre le temps ;
Face aux troubles rumeurs qui courroucent ces vents ?
Si nos mots sont heureux et joyeux nos pensers,
Pour quel mérite donc sommes –nous récompensés ? !
Quel est ce bonheur d'être heureux et esseulé ? !
Hâlé-il est alors et de chagrin mêlé …
Mon temps m'échappe mais j'ai trouvé un vieux philtre.
Pas mieux que le sommeil pour rêver les épîtres.
Quelque triste que soit la vie il y a toujours
En quelque tour mon âme attendant mon retour.
Désespoir dites-vous ? ! Ha ! Laisser-moi bien rire …
Ne désespèrent que ceux qui n'ont mots à souffrir.
Je n 'ai de bleus au cœur qu'autant que vos douleurs
Changent en mes chants leurs tons et mes rires en pleurs.
L'hiver est un nœud sur la voûte de nos mains
Posées sur l'étal de nos âmes au gris teint
Mais de loin toute terre nous promet le salut.
Nos pas nous y devancent … temps déjà révolu.
Dire que je trouvais ce temps tellement lent !
J'en ai l'ivresse encore, j'en suis tout somnolent.
Jardin de roses et de jaunes immortelles.
Hélas ! Tout est destin, le sort en était tel !
Tout est vrai quand on veut mais sait-on ce qu'on veut ;
Car les mots nous font mal quand ils ne sont qu'aveux.
Pourquoi le soleil se lèverait-il de ses cendres ?
Chaque jour dans l'azur. Serait-il si bavard ?
Ou n'est-ce encore que le vœu d'un triste avare ? !
MR H-BENBRAHIM